En 1926, George Samuel Clason a publié une série de contes sous forme de paraboles, dont le cadre est l’antique cité de Babylone. Ces contes ont été réunis [jour devenir ce classique de la littérature financière qui dévoile l’histoire de Bansir et Kobbi, qui tout en étant des maîtres de leur profession respective, sont demeurés infortunés. C’est grâce aux conseils de leur ami d’enfance, Arkad, qui contrairement à eux est devenu très riche et qui vit dans l’opulence, qu’ils prendront conscience des habitudes qui permettent de faire fortune, que toute personne riche a adoptées pour accumuler sa fortune et qui se résument par les cinq lois de l’or que voici
1• L’or vient volontiers, en quantité toujours plus importante, à l’homme qui met de cillé non moins du dixième de ses gains pour créer un bien en prévision de son avenir et de celui de sa famille.
2• l’or travaille avec diligence et rentabilité pour le sage possesseur qui lui trouve une utilisation profitable, se multipliant même comme les troupeaux dans les champs.
3• L’or demeure sous la protection du possesseur prudent, qui l’investit selon les conseils des hommes sages.
4. L’or échappe à l’homme qui l’investit sans but dans des entreprises avec lesquelles il n’est pas familiarisé ou qui ne sont pas approuvées par ceux qui connaissent la façon de l’utiliser.
5• L’or luit l’homme qui le forcerait à rapporter d’impossibles gains nu qui suivrait le conseil séduisant des fraudeurs et des trompeurs, nu qui se fierait à sa propre inexpérience et à ses désirs romantiques d’investissement.
Soyez le premier à commenter “L’homme le plus riche de babylone”