Christ n’était pas un prédicateur ennuyeux ! « Comme il serait merveilleux, dit l’auteur, si les prédicateurs de l’Évangile dans le monde entier prêchaient comme leur Maître ! »

Partant d’exemples de la prédication de Jésus rapportés dans les évangiles, Stuart Olyott met au défi le prédicateur actuel avec trois caractéristiques du ministère de Jésus.

• Le style et la méthode de Christ n’étaient pas ennuyeux mais saisissants.
• La prédication de Jésus visait aussi à évangéliser, à toucher les cœurs pour le salut
• Son ministère ne se limitait pas non plus à la prédication. En fait, sa vie entière était son ministère.

Dans un style attrayant, nouveau et pratique, l’auteur guide le prédicateur en soulignant certains des périls et des pièges qui pourraient détruire son succès. Ce faisant, il montre combien l’exemple de Jésus est essentiel pour ceux qui cherchent à le servir aujourd’hui.

Tout croyant, appelé ou non à prêcher, en retirera aussi l’énergie pour alimenter ses prières en faveur des serviteurs de la Parole et de l’annonce de la bonne nouvelle du salut en Christ seul.

Il semble que beaucoup de gens aujourd’hui, surtout dans les milieux chrétiens, ont peur du mot « élection » et de la doctrine qui lui est associée. On n’aime pas en parler, pensant que le sujet est certain de causer désaccord et division. On préfère reléguer la doctrine de l’élection au domaine des choses sèches et ennuyeuses dont seuls des théologiens empoussiérés se délectent.

Pourtant, cette vérité est à la fois très biblique et elle se situe au cœur du salut que Dieu accomplit en Christ. Elle ne concerne pas seulement le théologien, mais aussi la mère de famille, l’évangéliste, l’ouvrier, le jeune lycéen et le retraité. Bref, elle nous concerne tous. En fait, il n’est pas faux de dire qu’on ne peut pas vraiment comprendre l’Évangile du salut sans la comprendre, tout au moins dans les grandes lignes.

Cependant, il faut reconnaître qu’elle suscite des interrogations :

• Dieu attend-il mon bon vouloir avant de me sauver, ou a-t-il tout décidé d’avance ?
• Si les élus viendront assurément à Dieu, à quoi sert-il d’évangéliser ?

Ce livre répond à de telles questions, et à bien d’autres. On y voit comment, loin de venir du raisonnement de l’homme, l’élection imprègne chaque page de la Bible, la Parole de Dieu. Dieu sauve de manière souveraine, sans être assujetti à la moindre condition ou interférence extérieures à lui.

C’est là le Dieu de la Bible, et c’est par sa grâce seule qu’il accorde le salut en son Fils Jésus à ceux qui ne le méritent pas, ceux qu’il a aimés de toute éternité.

Dieu est-il le souverain absolu dans sa création ou a-t-il laissé un libre arbitre, la capacité de choisir le bien, à l’être humain ? Le destin éternel de l’homme dépend-il de l’homme seul, d’une association des efforts de l’homme et de la grâce de Dieu, ou de Dieu seul ? Si Dieu est le souverain absolu, qu’en est-il de la responsabilité de l’homme ?

Telles sont les questions auxquelles Arthur Pink s’attelle à répondre dans ce livre.

Ce sont des pages écrites par un auteur bien connu dans le monde entier. Elles invitent le lecteur à réfléchir. Elles visent surtout à déclarer avec fidélité le message de salut proclamé par la Bible et à libérer les croyants actuels de l’asservissement sous lequel les notions humaines les ont emprisonnés.

Dans la grâce de Dieu, la vérité d’un Dieu souverain engendrera une Église responsable et remplie d’adoration authentique.

Le bonheur n’est pas automatique pour l’homme, ni même pour le chrétien, et beaucoup sont troublés. Le bonheur ne semble pas réel et s’évanouit dès que l’on pense l’avoir saisi. La vie ici-bas s’en assure avec ses vicissitudes !

Je n’ai pas d’emploi, mes enfants tournent mal, je ne vaux rien, etc.

Eh bien, chrétiens, prenez courage ! Le bonheur n’était pas automatique pour l’apôtre Paul non plus. Il dut apprendre à être content de son état.

Thomas Watson examine cette parole, et montre quelle est la nature de ce vrai bonheur, comment l’obtenir et le conserver, où le puiser, comment éviter les écueils et les contrefaçons.

Ces pages très pastorales répondent à une multitude de questions que chacun se pose.

Comment découvrir quelle est la volonté de Dieu pour ma vie ?

Qui n’a jamais cherché la réponse à cette question ? Combien de cœurs n’a-t-elle pas torturés au cours des siècles ! Combien de gens ploient sous le fardeau de l’incertitude à ce sujet ! Et que dire des milliers de remèdes, de solutions, de panacées qui s’affichent un peu partout ? Le sujet est une véritable jungle pour l’esprit, surtout chez les jeunes.

Ce présent livre est-il encore un de ces «comment trouver le secret», une «recette» de plus, une collection de «trucs» ? Va-t-il me dire si je dois me marier avec telle ou telle personne, si je dois m’engager dans telle carrière plutôt que telle autre ?

Comme le dit l’auteur, il serait insensé de penser que Dieu allait consigner sa volonté particulière pour ma vie dans les quelques pages d’un livre. Au lieu de cela, et tout en abordant les domaines concrets qui causent le plus de recherche, Sinclair Ferguson dégage les principes que Dieu utilise généralement pour diriger son peuple. Il montre qu’une familiarité avec la Parole de Dieu, et une intimité avec le Dieu de la Parole, sont indispensables pour procurer une grande stabilité dans cette découverte de la volonté divine. Il replace toute la question de la recherche de la direction de Dieu, si souvent déformée, dans le grand contexte du dessein suprême que Dieu poursuit depuis le commencement.